Adieu Nadège
L’appel à la constitution d’un musée virtuel que j’avais lancé en en 2014 a suscité pas mal de réponses, dont celle de collègues déjà engagés dans la profession et pourvus d’une expérience notable en matière d’histoire de la discipline et/ou d’instrumentation de recherche ou de pratique professionnelle.
Mais il y avait une exception : une collègue jeune, qui avait fait dans sont département de psychologie, à Nantes, un travail très intéressant. Elle a accepté de rentrer dans le bureau de l’ARIMEP, puis d’en prendre la trésorerie. Elle a dès lors été un membre actif et dynamique de ce bureau, et puis…
…et puis, il y a eu une première alerte, une première attaque, qui l’a contrainte à nous abandonner un moment.
…et puis il y a eu un retour de son sourire dans notre bureau, qui nous a laissé espérer ce qu’il ne fallait pas espérer.
…et puis, il y a maintenant le mot de la fin.
Elle s’appelait Nadège Verrier. Le bureau de l’ARIMEP vient de recevoir un choc terrible et Nadège va nous manquer. Terriblement.
Pour le bureau
Roger Lécuyer, président.