Test PPI – Poly-psycho-informatique de BONNARDEL et SIMONNET

Le test ‘ Poly-psycho-informatique’    PPI

Concepteur : R. Simonnet –  auteur des tests : R Bonnardel

Producteur : Etablissements d’Applications Psychotechniques (EAP)

Création et diffusion: 1989 – 2014 – sigle : PPI  — tu (Z)

Domaines psychologiques: Vigilance et  dissociation/coordination. (Catégorie A)

Bibliographie

Le Travail Humain : 1976 – Documents sur la Batterie Factorielle Standard – R Bonnardel

Editions EAP : 1974 – Prévention et réduction des accidents par les méthodes psychologiques.

Université de Rennes : 1962-Recrutement du personnel responsable de postes de sécurité-F. Voge

Le Travail Humain : 1970- Essai de validation d’une batterie de sécurité– Wittersheim-Schlegel

L’Harmattan – 2008 – Un siècle de psychologie et de psychotechnique,  page 306

Descriptif

Le test ‘Poly-psycho-informatique’, dit ‘PPI’ en abrégé, est une batterie de tests constituée de tous les tests de ‘réaction psychomotrice’ et de certains tests de ‘dissociation/coordination’ des mouvements.

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L’informatique se miniaturisant de plus en plus, il devenait possible des présenter certains tests sur un écran d’ordinateur. Les tests de réaction psychométrique ayant été validés lors de leur transformation sur l’appareil électronique ‘POLYREACTIOGRAPHE’ (PRG), il était facile de les transposer sur un écran d’ordinateur. Le ‘PPI’ rassemble donc tous les tests

de réaction psychomotrice, qui sont : ‘la mesure des temps de réaction’, ‘l’attention diffusée’, ‘l’attention concentrée et ‘les réactions complexes’.

Par contre, la transposition des tests de dissociation des mouvements sur un écran d’ordinateur était beaucoup plus complexe, il fallut choisir ceux qui subiraient cette adaptation. Le choix porta sur les tests les plus utilisés, ceux de la ‘NOTE P’, c’est-à-dire ‘l’oméga’ et le ‘double Labyrinthe’. Pour des raisons techniques la transposition du test ‘sinusoïde’ fut abandonnée suite à des redondances avec les résultats obtenus au test ’oméga’. En effet, les manettes qui conduisent l’image d’un ergot sur un écran avaient les mêmes singularités que se soit pour le test ‘oméga’ ou pour le test ‘sinusoïde’, c’est-à-dire que l’action des manettes sur l’image des ergots était cachée et indirecte  alors que pour la ‘sinusoïde’ elle aurait du être directe, ce qui est impossible sur un écran. La ‘Note P’ s’en trouva modifiée, n’utilisant plus que deux tests au lieu de trois. Par contre sa validité ne fut pas compromise du fait d’une évaluation des tremblements simultanément avec celle de la dissociation des mouvements par le test ‘oméga’ modifié pour l’informatique, qui permettait la prise en compte de ces deux particularités.

Fiche rédigée par Robert Simonnet

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